Expo Doisenau à la Maison de la vache qui rit
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C’est la rentrée à La Maison de La vache qui rit®
Septembre rime avec rentrée des classes ! Pour accompagner les écoliers, La Maison de La vache qui rit®, à Lons-le-Saunier (Jura), propose à ses visiteurs de découvrir l’univers de Robert Doisneau à travers sa série de photos « Les doigts pleins d’encre ». Retour en enfance garanti du 18 septembre au 3 novembre 2010 à La Maison de La vache qui rit®.
Quand un photographe de renom s’invite à La Maison de La vache qui rit
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine, La Maison de La vache qui rit® inaugure sa nouvelle exposition temporaire « Les doigts pleins d’encre ». 30 tirages du célèbre photographe Robert Doisneau investiront ainsi les murs de La Maison de La vache qui rit jusqu’au 3 novembre 2010.
Robert Doisneau a immortalisé des enfants sur les bancs de l’école, majoritairement dans les années 50. Et quel meilleur lieu que La Maison de La vache qui rit pour faire un clin d’œil à tous les écoliers qui viennent de faire leur rentrée scolaire ? Entre souvenirs d’enfance, encriers et gourmandises, petits et grands pourront découvrir ou redécouvrir des univers qui leurs sont familiers.
« Les doigts pleins d’encre », la rencontre d’un photographe et d’un écrivain Le photographe Robert Doisneau et l’écrivain François Cavanna se sont réunis autour du livre « Les doigts pleins d’encre », paru en 1989, réel hommage à l’enfance. A travers cet ouvrage à quatre mains les deux artistes se positionnent comme spectateurs de ce que connurent les enfants d’avant et d’après-guerre. Entre les mots de Cavanna et les photos de Doisneau, tout un chacun reconnaîtra les billes que l’on
faisait rouler en se gelant les doigts, les frimousses malicieuses et la joie de vivre qu’emplissent les cours de récréation et les classes d’école. Cela rappellera à tous d’émouvants souvenirs et aux plus jeunes que leurs parents ne furent pas toujours des adultes.
Robert Doisneau, témoin du quotidien
Après des études d’arts graphiques, Robert Doisneau obtient son diplôme de graveur et de lithographe et intègre l’Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. Formé par André Vigneau, il devient officiellement photographe indépendant pour l’agence Rapho en 1946. Appelé aussi « braconnier de l’éphémère », il est connu pour ses clichés d’écoliers et d’individus croisés dans les rues de Paris. Il réalise de nombreux reportages photographiques pour des magazines variés tel que Life, Paris Match, Réalités, Point de Vue, Regards… Parallèlement à son travail de reporteur, il publie une trentaine d’albums photos, dont « Les doigts pleins d’encre ».
Son travail de photographe sera récompensé à diverses reprises, notamment en 1947 avec le Prix Kodak et le Prix Niepce en 1956.
Robert Doisneau meurt à Montrouge le 1er avril 1994 et laisse dernier lui de nombreux clichés, réels témoins de l’histoire de Paris, ses alentours et ses habitants.
A propos de La Maison de La vache qui rit® Loin de se limiter à la mise en scène d’un fond iconographique, La Maison de La vache qui rit® constitue un véritable laboratoire d’idées au service d’une marque en plein devenir. Lors de la création de cette Maison, le postulat de départ consistait à revisiter la notion de musée en créant un espace attractif et original, convivial et innovant. Dès le début du parcours, une animation en 3D met en scène La vache qui rit® en lui faisant traverser les âges : on y découvre Vachscaux, Vachkiris, Liberty cow ou Vachstronaute… Puis, au fil des salles dédiées à l’histoire de la marque, films d’époque, bandes dessinées, chansons, émissions de radios, films publicitaires et d’animations se succèdent pour illustrer la manière dont la marque s’est installée dans la vie quotidienne de chacun.
www.lamaisondelavachequirit.com